Un abattage d’arbre à faire ? Cette mission complexe est pour notre entreprise d’élagage et d’abattage à Didonne !

Quand un arbre est devenu trop imposant et qu’il représente une gêne notamment pour la luminosité dans votre logement par exemple ou quand il représente un danger, il n’y a parfois pas d’autre solution que de procéder à un abattage d’arbre. Il en est également de même lorsque l’un des sujets est atteint de pathologies qui ne peuvent être soignées et contaminer les autres. Toutes les précautions doivent être prises pour qu’il n’y ait pas de dégâts occasionnés par cet acte. Notre abatteur d’arbre est habitué à ce type d’exercice qu’il réalise à la perfection !

abattage d'arbres dans le 17Avant tout abattage d’arbre, notre entreprise d'abattage à Didonne doit s’assurer que l’opération peut être réalisée en toute sécurité. Pour cela, notre abatteur se rend sur place afin de vérifier que la chute de l’arbre ne va pas entraîner de dégâts. Ainsi, si des lignes téléphoniques et électroniques sont gênantes, il va demander l’autorisation pour une coupure de l’électricité durant l’abattage. Et, pour réaliser sa mission, il va procéder au démontage de l’arbre. Il en est de même s’il y a des routes ou des infrastructures.

En effet, couper un arbre dans les règles comprend plusieurs étapes dont :

  • Le démontage de l’arbre :

Cela consiste à retirer tout ou une partie de la couronne avant de l’abattre. Notre abatteur réalise un débitage partiel pour diminuer le volume et la taille de l’arbre abattu et le faire chuter dans la direction souhaitée. Le démontage peut aussi être complet notamment lorsque la surface au sol est insuffisante pour le faire tomber sans danger. L’arbre est alors coupé par tronçons depuis la cime jusqu’à la souche. Notre entreprise d’abattage dispose d’une nacelle qui lui permet de démonter et abattre tous les arbres, même les plus grands !

  • L’abattage d’arbre :

Lorsque le démontage de l’arbre est partiel, l’opération se poursuit par l’abattage de l’arbre. Une fois déterminé le sens de repli et une zone de repli dégagée, notre abatteur doit procéder à trois coupes pour faire tomber l’arbre. La première est la coupe de sol horizontale qui est effectuée sur la face du tronc qui est dans la direction de la chute. Elle est réalisée sur un cinquième du diamètre du fût. La coupe oblique est ensuite effectuée sur la même face du tronc mais en respectant un angle de 45 ° par rapport à la première coupe et la rejoint. Enfin, depuis la face opposée à la chute, il procède à l’abattage en coupant en respectant de nouveau un angle de 45 °. La coupe rejoint les deux précédentes et entraîne la chute de l’arbre.

  • L’ébranchage :

Une fois l’arbre au sol, il faut couper les branches afin de dégager le fût et permettre son transport ou son débitage qui est l’étape suivante. L’ébranchage est réalisé par le bas du fût en remontant vers la couronne ou par la technique dite du levier qui consiste à commencer par le flanc du fût sur 1 m puis sur le dessus et sur le flanc opposé. Notre abatteur d’arbre choisit la solution la plus appropriée.

Notre entreprise d’élagage à intervient dans toute la Charente Maritime 17 et nos élagueurs sont à votre service à Didonne.

Notre entreprise d’abattage d’arbre est à votre disposition pour réaliser tout abattage dans les règles et en toute sécurité. Alors contactez-nous si vous avez un arbre dangereux ou gênant à Didonne !

 

Abattage d’arbres de toutes espèces, telles que : Ailante – Alisier – Aulne – Bouleau blanc – Charme – Châtaignier – Chêne – Erable – Frêne – Hêtre – Houx – Marronnier D’inde – Merisier – Micocoulier – Noisetier – Noyer – Orme – Peuplier – Platane – Poirier – Pommier – Prunellier ou épine noire – Robinier – Saule – Saule pleureur – Tilleul – Tremble – Cèdre – Cyprès – Epicéa – If – Mélèze – Pin – Pin Maritime – Pin parasol – Sapin argenté

Abattage  Didonne – Abattage Didonne – Broyage de branches Didonne – Rognage de souches Didonne

Didon

Didon (latin : Dido), Elyssa, Elissa, Elisha, Elysha ou Hélissa, est une princesse phénicienne, fondatrice légendaire et première reine de Carthage. Arrivée des côtes de Phénicie (actuel Liban) aux côtes d'Afrique du Nord, dans l'actuelle Tunisie, elle fonde la cité de Carthage. Selon la légende, elle se serait immolée par le feu pour ne pas avoir à épouser le souverain des lieux, Hiarbas.

De nombreux noms figurant dans la légende de Didon sont d'origine phénicienne, ce qui permet de supposer que les premiers auteurs grecs qui mentionnent cette histoire ont repris des récits phéniciens. Selon Marie-Pierre Noël, « Elishat/Elisha ou Alashiyya est un nom attesté à maintes reprises sur des ex-voto puniques ». Il est composé de El, qui signifie « dieu » en phénicien, et -issa, qui pourrait signifier « feu » ou « femme »[1]. Le frère de Didon, Pygmalion, correspond à Pumayyaton en phénicien. Le nom de la colline qu'obtient Didon à Carthage, Byrsa, doit signifier en phénicien « place forte » (langue sémitique : brt), mais il a été interprété en grec comme « bursa », c'est-à-dire « peau de bœuf »[1].

La source identifiable la plus ancienne date du IVe – IIIe siècle avant l'ère chrétienne : il s'agit d'un ouvrage en grec de Timée de Tauroménion, Histoire de la Sicile et du bassin méditerranéen. Cet ouvrage a inspiré les textes antiques ultérieurs centrés sur Didon ; cependant, il est complètement perdu.

Vient ensuite un passage d'un traité anonyme, également rédigé en grec et datant de l'époque hellénistique (IVe – Ier siècle avant l'ère chrétienne), intitulé Traité sur les femmes, ouvrage qui dessine le portrait de femmes célèbres et héroïques[2].

Abattage d'un arbre

L'abattage d'un arbre consiste à le couper à la base pour provoquer sa chute et ensuite permettre le retrait du site et son exploitation. Il s'agit d'une étape importante de l'exploitation forestière.

Dès que l'arbre est d'un certain volume ou hauteur, l'opération requiert une personne expérimentée - un bûcheron - en particulier apte à déterminer la chute au meilleur endroit et en sécurité.

La dendrochronologie a déterminé que les arbres utilisés par la plus ancienne charpente romane française recensée, en l'église Saint-Georges-sur-Loire de Rochecorbon, ont été abattus (et assemblés) en 1028[2]. En 1985 en Europe, via la dendrochronologie, il était pratiquement possible de déterminer jusqu’au IIIe millénaire av. J.-C., et au mois près, la date d’abattage d’un arbre[3].

En zone tempérée, l'abattage des résineux se fait indifféremment toute l’année. En revanche, pour les feuillus, sont préférées les périodes hors sève, c'est-à-dire en automne ou en hiver. En effet, ces conditions présentent plusieurs avantages :