Un abattage d’arbre à faire ? Cette mission complexe est pour notre entreprise d’élagage et d’abattage à Saint-Georges-de-Didonne !
Quand un arbre est devenu trop imposant et qu’il représente une gêne notamment pour la luminosité dans votre logement par exemple ou quand il représente un danger, il n’y a parfois pas d’autre solution que de procéder à un abattage d’arbre. Il en est également de même lorsque l’un des sujets est atteint de pathologies qui ne peuvent être soignées et contaminer les autres. Toutes les précautions doivent être prises pour qu’il n’y ait pas de dégâts occasionnés par cet acte. Notre abatteur d’arbre est habitué à ce type d’exercice qu’il réalise à la perfection !
Avant tout abattage d’arbre, notre entreprise d'abattage à Saint-Georges-de-Didonne doit s’assurer que l’opération peut être réalisée en toute sécurité. Pour cela, notre abatteur se rend sur place afin de vérifier que la chute de l’arbre ne va pas entraîner de dégâts. Ainsi, si des lignes téléphoniques et électroniques sont gênantes, il va demander l’autorisation pour une coupure de l’électricité durant l’abattage. Et, pour réaliser sa mission, il va procéder au démontage de l’arbre. Il en est de même s’il y a des routes ou des infrastructures.
En effet, couper un arbre dans les règles comprend plusieurs étapes dont :
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Le démontage de l’arbre :
Cela consiste à retirer tout ou une partie de la couronne avant de l’abattre. Notre abatteur réalise un débitage partiel pour diminuer le volume et la taille de l’arbre abattu et le faire chuter dans la direction souhaitée. Le démontage peut aussi être complet notamment lorsque la surface au sol est insuffisante pour le faire tomber sans danger. L’arbre est alors coupé par tronçons depuis la cime jusqu’à la souche. Notre entreprise d’abattage dispose d’une nacelle qui lui permet de démonter et abattre tous les arbres, même les plus grands !
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L’abattage d’arbre :
Lorsque le démontage de l’arbre est partiel, l’opération se poursuit par l’abattage de l’arbre. Une fois déterminé le sens de repli et une zone de repli dégagée, notre abatteur doit procéder à trois coupes pour faire tomber l’arbre. La première est la coupe de sol horizontale qui est effectuée sur la face du tronc qui est dans la direction de la chute. Elle est réalisée sur un cinquième du diamètre du fût. La coupe oblique est ensuite effectuée sur la même face du tronc mais en respectant un angle de 45 ° par rapport à la première coupe et la rejoint. Enfin, depuis la face opposée à la chute, il procède à l’abattage en coupant en respectant de nouveau un angle de 45 °. La coupe rejoint les deux précédentes et entraîne la chute de l’arbre.
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L’ébranchage :
Une fois l’arbre au sol, il faut couper les branches afin de dégager le fût et permettre son transport ou son débitage qui est l’étape suivante. L’ébranchage est réalisé par le bas du fût en remontant vers la couronne ou par la technique dite du levier qui consiste à commencer par le flanc du fût sur 1 m puis sur le dessus et sur le flanc opposé. Notre abatteur d’arbre choisit la solution la plus appropriée.
Notre entreprise d’élagage à intervient dans toute la Charente Maritime 17 et nos élagueurs sont à votre service à Saint-Georges-de-Didonne.
Notre entreprise d’abattage d’arbre est à votre disposition pour réaliser tout abattage dans les règles et en toute sécurité. Alors contactez-nous si vous avez un arbre dangereux ou gênant à Saint-Georges-de-Didonne !
Abattage d’arbres de toutes espèces, telles que : Ailante – Alisier – Aulne – Bouleau blanc – Charme – Châtaignier – Chêne – Erable – Frêne – Hêtre – Houx – Marronnier D’inde – Merisier – Micocoulier – Noisetier – Noyer – Orme – Peuplier – Platane – Poirier – Pommier – Prunellier ou épine noire – Robinier – Saule – Saule pleureur – Tilleul – Tremble – Cèdre – Cyprès – Epicéa – If – Mélèze – Pin – Pin Maritime – Pin parasol – Sapin argenté
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Saint-Georges-de-Didonne
Saint-Georges-de-Didonne (prononcé [sɛ̃.ʒɔʁʒ.də.di.dɔn]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime et la région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Saint-Georgeais et les Saint-Georgeaises[1].
Importante station balnéaire et climatique du Royannais et de la côte de Beauté, sur la rive droite de l'embouchure de l'estuaire de la Gironde et à proximité immédiate de l'océan Atlantique, Saint-Georges-de-Didonne est un des principaux pôles économiques et touristiques de l'agglomération royannaise, ville dont elle est une des principales banlieues résidentielles. Sa population est de 5356 habitants (2016) — passant à plus de 50 000 habitants pendant la saison estivale — au cœur d'une Communauté d'agglomération Royan Atlantique forte de 81 896 habitants (2014).
La ville connaît son plein essor au XIXe siècle, grâce à la mode des bains de mer importée d'Angleterre. De petit port de pilotes-lamaneurs, Saint-Georges-de-Didonne devient un lieu de villégiature prisé des écrivains (Jules Michelet y séjourne), des artistes (Odilon Redon, Fernand Pinal, Léonce Chabry) mais aussi des personnalités politiques (Édouard Herriot), voire des têtes couronnées (le roi Alphonse XIII d'Espagne). Intégrée à la forteresse allemande de la poche de Royan à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la ville sort relativement épargnée des combats, au contraire de sa célèbre voisine, anéantie par des bombardements alliés, mais est cependant classée « ville sinistrée » et est décorée de la croix de guerre avec étoile de bronze (citation à l'Ordre du régiment). De ce fait, elle conserve son centre ancien, aujourd'hui semi-piétonnier, et quelques monuments historiques.
Jouant volontairement la carte du tourisme « familial », labellisée Famille Plus, Saint-Georges-de-Didonne met en avant sa conche de sable fin, plus grande plage intra-muros de la Charente-Maritime[2], ses infrastructures touristiques et ses animations, notamment le festival Humour et Eau salée. La commune met également en valeur son patrimoine naturel, bénéficiant de la présence sur son territoire d'une vaste pinède, la forêt de Suzac — un des trois poumons verts de l'agglomération royannaise avec la forêt domaniale de la Coubre et la forêt des Combots d'Ansoine — et d'un site naturel protégé par le Conservatoire du littoral, la pointe de Suzac. Elle s'inscrit en outre depuis 2015 dans le périmètre du parc naturel marin de l'estuaire de la Gironde et de la mer des Pertuis.
Abattage d'un arbre
L'abattage d'un arbre consiste à le couper à la base pour provoquer sa chute et ensuite permettre le retrait du site et son exploitation. Il s'agit d'une étape importante de l'exploitation forestière.
Dès que l'arbre est d'un certain volume ou hauteur, l'opération requiert une personne expérimentée - un bûcheron - en particulier apte à déterminer la chute au meilleur endroit et en sécurité.
La dendrochronologie a déterminé que les arbres utilisés par la plus ancienne charpente romane française recensée, en l'église Saint-Georges-sur-Loire de Rochecorbon, ont été abattus (et assemblés) en 1028[2]. En 1985 en Europe, via la dendrochronologie, il était pratiquement possible de déterminer jusqu’au IIIe millénaire av. J.-C., et au mois près, la date d’abattage d’un arbre[3].
En zone tempérée, l'abattage des résineux se fait indifféremment toute l’année. En revanche, pour les feuillus, sont préférées les périodes hors sève, c'est-à-dire en automne ou en hiver. En effet, ces conditions présentent plusieurs avantages :